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CRITIQUES

SEMELE

Théâtre Lübeck, Allemagne

« La jeune soprano canadienne Sophie Naubert est remarquable dans le rôle-titre : la façon dont elle transforme lentement la jeune Semele en Marilyn Monroe, puis passe d'un état d'esprit naïf à la dépendance sur un lit immense, est captivante rien que par son jeu - et est surpassée par son soprano frais, qui fait face sans effort à chaque note et en particulier aux exigences de la colorature. La tempête d'applaudissements qu'elle a reçue à la fin était énorme. »

 

5 Février 2025, HL-Live

« Et Semele alias Marylin Monroe (Sophie Naubert) chante et joue tout simplement incroyablement bien ! En conséquence, les applaudissements ont augmenté en durée et en volume, reflétant l'enthousiasme du public. »

 

18 novembre 2024, Kultur Port

« La manière dont la soprano canadienne Sophie Naubert, âgée de 26 ans, confirme les dires de Lawless sur Marilyn est stupéfiante : c'est plus qu'une certaine ressemblance, c'est une adaptation pleine d'entrain ! Mais sa performance vocale est encore plus époustouflante : Naubert a une voix fine, claire et nacrée. Et, avec le tempo et la dynamique presque bienveillants de Nagasaki, elle accomplit le parcours colorature de cette partie avec une virtuosité sérieuse que l'on n'attendrait guère d'une artiste aussi jeune : des lignes d'une grande clarté, d'une belle plasticité et d'une formulation délicate. Le public est tombé à ses pieds. »

 

16 novembre 2024, Die deutsche Bühne

« La jeune Canadienne Sophie Naubert, dans le rôle-titre, s'est distinguée parmi les solistes. Une soprano merveilleuse qui a tout ce qu'il faut pour faire une carrière mondiale. Dans sa colorature, chaque note était parfaite, sa présence sur scène était exemplaire. La façon dont elle a interprété Semele entre le plus grand bonheur et le plus profond désespoir était réconfortante. Le public l'a remerciée par de nombreux applaudissements. »

 

Lübecker Nachrichten

« Le théâtre de Lübeck a eu un véritable coup de chance en choisissant la jeune soprano colorature canadienne Sophie Naubert pour incarner Sémélé. Et l'on peut dire qu'elle a conquis le cœur du public de la première à Lübeck. Elle possède une belle voix de soprano aux timbres nobles, techniquement parfaite et polyvalente, avec des traits de colorature merveilleusement étincelants et des notes aiguës toujours excellemment placées. Avec son charisme, son apparence extraordinairement distinctive, sa présence charismatique sur scène, son interprétation intense et émotionnelle alliée à la sensualité et à la luminosité vocale, elle a fait de cette première un événement magnifique. Semele a plus d'une douzaine d'airs à chanter, un véritable tour de force, et Sophie Naubert les a tous maîtrisés sans effort et avec beaucoup d'énergie. Sans aucun effort, elle a déclenché un merveilleux feu d'artifice de coloratures, [...] et a fait retentir le grand air « Myself I shall adore » avec des coloratures cristallines, à l'épreuve des bombes. Pour Sophie Naubert, cet engagement à l'opéra de Lübeck marque ses débuts très réussis en Allemagne et en Europe, et nous aurons certainement l'occasion d'entendre encore beaucoup de choses de cette jeune artiste exceptionnelle. »

 

Wolfgang Schmitt, 19 novembre 2024, Ioco Kultur am Netz

LA SERVA PADRONA

Orchestre Classique de Montréal, Canada

« Pour souligner la beauté émouvante de justesse, de nuances et de puissance de la radieuse servante Serpina incarnée à merveille par la voix de soprano de Sophie Naubert […] En somme, bien des contrastes en chair de poule en une soirée épatante par laquelle brilla plus que nulle autre, quoique toutes excellentes, l’émouvante Sophie Naubert. »

 

Eric Sabourin, 9 octobre 2024, Les Arts Zé

« Dans le rôle-titre, la soprano Sophie Naubert déploie les richesses de son instrument à l’homogénéité parfaite et au timbre idéal pour ce type de personnage enjoué annonçant par exemple la Despina de Mozart. Actrice née, elle incarne une Serpina espiègle à souhait et d’une redoutable force de caractère. »

 

Louis Bilodeau, 10 octobre 2024, L'Opéra

« Âgée de 26 ans, la jeune Canadienne est un talent très précoce au sens où son soprano cuivré est singulier pour une chanteuse d’un si jeune âge. Cette patine accroche immédiatement l’attention et donne un grand intérêt aux ensembles, puisque la voix est très personnelle. La belle sensibilité musicale de Sophie Naubert s’est exprimée dans « Ach ich fühl’s » de La flûte enchantée. »

 

Christophe Huss, 31 mai 2024, Le Devoir

« Les prouesses de cette soprano colorature et son agilité vocale font d’elle une artiste très sollicitée! Artiste polyvalente, elle excelle autant dans son répertoire d’opéra que dans les comédies musicales et, chaque fois, la qualité de son jeu scénique est remarquée. »

 

Pascale St-Onge, 27 mai 2024, Urbania

« C’est l’interprète que j’ai senti la plus confortable avec le style. Il m’a semblé qu’elle s’amusait avec ses ornements et qu’elle faisait sienne cette esthétique particulière. »

 

Jérémie de Pierre, L’Opéra, 5 décembre 2023,

L’incoronazione di Poppea, Monteverdi

« Sur scène, la grande triomphatrice de la représentation est la soprano Sophie Naubert, Gretel d’une extraordinaire maturité vocale doublée d’une exceptionnelle qualité de jeu. On reste pantois devant la solidité technique, l’homogénéité de la voix, la projection parfaite, la sûreté des aigus perçant sans difficulté à travers l’orchestre et surtout une admirable musicalité. D’un naturel confondant, la jeune fille bouge, danse et virevolte avec la grâce d’une ballerine. »

Louis Bilodeau, L'Opéra, 7 février 2023

Gretel, Hänsel und Gretel, Opera McGill

« Sophie Naubert, jeune soprano dotée d’une voix superbe et d’une présence sur scène magnétique canalisant sa musicalité naturelle. »

Caroline Rodgers, Ludwig Van Montréal, 1er juin 2023,

L’homme qui rit, Ichmouratov

« Pour sa part, Sophie Naubert a livré une solide performance de la magnifique mélodie « Le soir » de Gounod, dont elle a rendu la poignante beauté avec justesse. Sa voix semblait complètement envahir l'espace dans lequel elle se trouvait, et ce, de façon tout à fait naturelle et sans le moindre effort visible. »

L'Opéra, Novembre 2020

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